A Bruxelles, environ 30 000 logements restent vides alors que des milliers de personnes vivent dans la rue ou peinent à payer leur loyer. Face à cette absurdité capitaliste où la protection de la propriété privée prime sur le droit au logement, les squatteur-se-s agissent : ils-elles se réapproprient les logements vides et occupent. Souvent les combats des collectifs de squat ne s’arrêtent pas à la seule question du logement : Squat féministe, centre social anarchiste, des espaces créés par et pour les personnes sans papiers... autant de combats différents, qui motivent les squatteur-se-s à créer des lieux politiques dans la ville. C’est de cette diversité que nous voulons discuter ce soir avec des membres de différents collectifs (la Salecoiff, la Voix des Sans-Papiers, Piratons Bruxelles, 123, ...).

Soirée organisée en vue de la MANIF POUR LE LOGEMENT le 21 mars

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