vendredi 24 février 2012
Certains me reprocheront sans doute mon obsession quasi maladive à dénoncer les dérives d’Emir Kusturica, tendance particulièrement visible sur Facebook, où la moindre éructation du cinéaste, du haut des cimes de son Küstendorf, suscite fiel et agressivité de ma part.
Sans ... (Lire la suite...)