Grande manifestation contre le nouveau centre de contrôle de la police fédérale d’Aix-la-Chapelle et ses pratiques.
Plus largement, c’est également une lutte contre la politique européenne, l’agence FRONTEX et l’Europe Forteresse.
Voici la traduction de l’appel :
En été 2014 le nouveau centre de contrôle de la police fédérale ouvrira à côté de la gare principale d´Aachen.
De là, la police fédérale sera à l‘avenir s‘acquitter de leurs tâches. Ces tâches comprennent en particulier la « protection policière des frontières du territoire national ». La pratique des contrôles de la police est appelée « racial profiling ». Les contrôles ne sont pas effectués en raison du comportement de personnes, mais en raison des caractéristiques superficielles. Cette pratique est basée sur les schémas de pensée racistes, les migrants sont plus de crimes que les personnes sans antécédents de migration.
À Aachen, c´est qui se passe principalement à la gare centrale et aux nombreux postes frontières. Les actions de la police fédérale sont sans doute partie d‘une politique répressive et raciste ou politique d‘immigration et d´asile, qui est d‘observer et voulu par l‘UE pour toutes les frontières extérieures de l‘UE. Cette politique s‘inscrit dans le cadre de la politique paneuropéenne de l‘isolement.
Plus largement, la police fédérale allemande est très impliquée dans l‘organisation de l‘UE FRONTEX, qui surveille les frontières extérieures de l‘UE. Chaque année, des milliers de personnes meurent en essayant de surmonter ces limitations. Trop souvent, il est également coupable de FRONTEX lorsque les migrants se noyer dans la mer ou chavirer des bateaux. En plus des mesures institutionnelles pour prévenir et contrôler la migration, il existe aussi un discours médial, souvent très raciste. Le point de vue de ceux qui sont des réfugiés, ne joue pratiquement jamais un rôle dans les médias allemands.
Le racisme n‘est pas qu’un phénomène de l‘extrême droite. Il traverse la société, les pratiques de la police comme les parlements et les institutions gouvernementales.
Et partout où le racisme existe, il doit être combattu !
Mais il existe aussi de la résistance.
En 2012 un groupe de victimes de la politique d´asile allemande, s´est fondés et a organisé collectivement et solidairement le « Refugee Protestmarch from Würzburg to Berlin ». Un autre groupe d‘opposition, p.ex. le groupe « Lampedusa à Hambourg ». Les fugitifs faisant certaines exigences, entre autres, la reconnaissance de tous les demandeurs d‘ asile que politique échappé, à arrêter toutes les expulsions, la suppression de l‘obligation de résidence qui interdit aux demandeurs d‘asile de quitter leur résidence ou choisi par les autorités telles que à vivre la suppression de roulements de service qui interdit aux demandeurs d‘asile de choisir leur lieu de résidence lui-même et les oblige à une vie dans un « camp de réfugiés ».
Ces groupes faisaient partie d‘une répression de l‘état.
L‘UE et l‘Allemagne sont basées sur le modèle d‘un appareil de sécurité développée et puissante comme une « arme » contre la migration. Forclusion, la surveillance des frontières et de la police n´empêchera jamais les gens de faire leur chemin vers l‘Europe.
Forteresse Europe n‘empêchera pas l‘autonomie de la migration.
Pour un monde sans frontières et une solidarité mondiale !
Personne n‘est illégal – le droit de rester n‘importe où !