1er Mai 2020

Pour la lutte, pour la vie, pour la Communauté Humaine.

Non au confinement généralisé ! Pour la première fois dans l’histoire, le pouvoir a imposé un enfermement généralisé dans plus de la moitié du monde. Opposons-nous à tous ceux qui imposent la tyrannie mondiale dictée principalement par l’Organisation Mondiale de la Santé.

Non à la terreur sanitaire ! Résistons à la peur panique de la maladie provoquée par le pouvoir, principalement à travers les médias par l’amplification d’une parole scientifique unique, de celle des « experts », des organisations reconnues, des influenceurs(euses), des journalistes, des femmes et hommes politiques, des « bons citoyen(ne)s »… Ne croyons pas en leurs mensonges quotidiens et notamment sur les décomptes macabres journaliers, sur les chiffres tronqués qui terrorisent chaque soir. Dénonçons la censure qui s’abat sur les voix dissonantes.

Non à la panique organisée ! Ce n’est pas le virus qui tue, c’est le déséquilibre immunitaire causé par la malbouffe, le mal-être, la pollution, la peur… qui cause des diabètes, des cancers, des maladies auto-immunes… Les virus, les bactéries qui nous habitent sont indispensables à la vie depuis la nuit des temps. Les produits chimiques qui provoquent la pollution de l’air, de la terre, de l’eau… sont contre la vie. La seule pandémie qui fait des ravages est la pandémie de la peur, du pouvoir sur nos vies et du profit.

Non à la dictature vaccinale ! Par la « virusphobie », par la peur entretenue depuis 150 ans (dogme de Louis Pasteur), les vaccins prétendent donner une réponse à « la maladie ». Mais aucune réponse médicale ne peut résoudre le déficit sanitaire causé par le mode de production capitaliste. Les grands bénéficiaires de cette politique vaccinale sont les industries pharmaceutiques.

Non à la dictature médicale ! Retirons notre confiance en la « médecine officielle » qui nous dépossède de nos corps, de notre intuition et de nos savoirs. Cette même médecine qui combat les alternatives et réponses naturelles aux maladies avec pour seul objectif le profit, le monopole de « la vérité scientifique ».

Non à la distanciation sociale ! Refusons les mesures que nous imposent les états pour soi-disant nous protéger de la maladie et de la mort. Refusons les mesures de « privation sensorielle » qui sont une torture pour tout être vivant. Refusons d’être privés de contacts physiques (« distances sociales », « gestes barrières »), de contacts visuels (les masques masquent les sourires), de contacts sociaux (l’isolement nous empêche de réfléchir et de lutter ensemble), de contacts avec la nature… Ces mesures sont contre la santé psychique, contre la santé physique, contre la vie. Révoltons-nous contre ces mesures qui imposent à nos aîné(e)s en fin de vie de mourir dans et par l’isolement, la solitude, l’abandon. Dénonçons ces crimes contre l’humanité !

Non au contrôle de nos vies ! Résistons au testing, tracing, tracking… Refusons ces moyens de contrôle même sur base volontaire (parce que c’est le moyen de l’imposer progressivement). Empêchons la digitalisation de nos vies dans tous ses aspects (smartphones, réseaux sociaux...). Refusons la surveillance omniprésente et permanente.

Non à la délation ! Opposons-nous à la culpabilisation de ceux et celles qui enfreignent les règles de « bonne conduite », qui n’obéissent pas docilement aux injonctions de nos maîtres, qui refusent et refuseront de se plier au respect de mesures inhumaines au niveau social et médical. Ne soyons pas de « bons citoyens » qui s’en remettent sans réfléchir à l’état, qui applaudissent à 20h, qui dénoncent leurs voisins... mais qui, en réalité, se déresponsabilisent par rapport aux réels enjeux de la situation.

Non à la criminalisation des actes de désobéissance ! Ne pas respecter les règles strictes de confinement, c’est porter atteinte à la collectivité, c’est risquer de propager le virus, disent-ils. Mais ce qu’ils redoutent, c’est la propagation de la contestation, de l’opposition, de la subversion, et, peut être le pire pour cette société malade d’égoïsme, la propagation d’une fraternité, une épidémie d’amour qui pourrait naître dans la lutte. Tout pas de coté est déjà verbalisé mais ce n’est qu’un avant-goût de ce qui nous attend si on laisse s’imposer des mesures et des moyens de répression « made in China ».

Non à la guerre contre un virus, prétexte pour assujettir l’humanité. De même que la guerre contre le terrorisme est prétexte à des guerres contre l’espèce humaine, la guerre « contre le Covid 19 » est une guerre contre l’humanité. La guerre « contre la pandémie » est une guerre pour le contrôle des populations.

Non au despotisme international qui empêche, par les mesures de confinement, les populations les plus pauvres de subvenir à leurs besoins élémentaires. Il est évident que les conséquences des « mesures sanitaires » sont bien plus meurtrières que le prétendu bénéfice escompté. Il est possible que nous assistions aux prémices d’un génocide planétaire si nous n’y opposons pas une lutte déterminée à un niveau international, une lutte qui devra renverser l’ordre établi.

Non à la dictature de l’argent ! La terre n’est pas un terrain de jeu pour l’aristocratie financière !

Oui à la révolution totale des moyens de production basés exclusivement sur les besoins naturels des êtres humains. 

Prolétaires Contre Le Confinement