1) Le fils et le frère d’Henda Ayari viennent de pulvériser la seconde version du présumé "viol" perpétré par Tariq Ramadan, selon Henda Ayari, le 26 mai 2012 à Paris. Or, à cette date, elle était au mariage de son frère cadet, à proximité de Rouen [à 150 km de Paris], "de 20h00 à 03h00 du matin", ont affirmé le fils et le frère de la plaignante aux enquêteurs ; photos à l’appui...
2) La seconde plaignante, l’activiste islamophobe d’extrême-droite, Paule-Emma Aline (surnommée "Christelle" par nombre de médias partiaux) aurait "un souci" avec la demande de confrontation à Tariq Ramadan souhaitée par les juges d’instruction...
3) La troisième plaignante, "Marie", ex-prostituée précédemment citée comme "peu crédible" dans l’affaire du Carlton de Lille (DSK), qui affirme que Ramadan l’aurait "violée à 9 reprises", a été dénoncée par ses propres frère et soeur comme poursuivant un objectif purement vénal en déposant plainte pour "viols" contre l’islamologue suisse.
Résultat (provisoire) : 6 mois de préventive enduré par Tariq Ramadan, atteint de sclérose en plaques, tandis que les 3 plaintes françaises contre l’islamologue ont spectaculairement perdu en crédibilité chaque mois qui passait...
"Vive la France ! Vive la République !", comme dirait Antoine Griezmann.
Sérieusement et sans sarcasme : quand justice sera enfin rendue, il faudra impérativement que la majorité des médias français ainsi que la serial-menteuse Caroline Fourest - hyperactifs à bafouer la présomption d’innocence de Tariq Ramadan et à le dépeindre en "violeur islamiste" - s’expliquent sur leurs motivations réelles.
Olivier Mukuna
Bruxelles, le 19 juillet 2018.