Ciné-Débat avec Amnesty International autour des Violences sexuelles

posté le 18/10/19 par CENTRE VIDÉO DE BRUXELELS - CVB
lieu : Centre culturel Jacques Franck
adresse : Chaussée de waterloo 94 1060 Bruxelles, Bruxelles

02 538 90 20
info@lejacquesfranck.be
Mots-clés  genre / sexualité  féminisme 

Projection du documentaire SANS FRAPPER suivie d’un débat organisé par Amnesty International Belgique francophone en présence de Dominique Deshayes - coordinatrice Femmes d’ Amnesty International Belgique, Françoise Leroux - psycholgue au Centre de prise en charge des victimes de violences sexuelles (CPVS) du CHU Saint-Pierre / 320 rue haute & la réalisatrice

SANS FRAPPER
Un film documentaire d’Alexe Poukine - 85 m - VOFR

Ada a dix-neuf ans. Elle accepte d’aller dîner chez un garçon qu’elle connaît. Tout va très vite, elle ne se défend pas. Son corps est meurtri, son esprit diffracté. Le récit d’Ada se mélange à ceux d’autres, tous différents et pourtant semblables.
La même sale histoire, insensée et banale.
BANDE-ANNONCE

LA PRESSE EST UNANIME !!!

« L’image classique que l’on se fait du viol se déconstruit petit à petit pour construire une représentation beaucoup plus complexe, beaucoup plus banale et intime... » La Libre

« C’est une des forces du film. Quand l’histoire d’Ada (…) se mêle à leur propre histoire pour dire l’un des enseignements du féminisme (et de l’empathie) : ton histoire est mon histoire. »
Axelle magazine
« Avec son bouleversant documentaire Sans frapper (...)transforme l’histoire d’un viol singulier en l’histoire d’une expérience collective des violences sexuelles induites par une société patriarcale qui tarde à s’interroger sur ce mal systémique. » CINEVOX - le cinéma vu par les Belges

« Le procédé osé de ce documentaire invite chacun à réfléchir à son rapport à la sexualité et au consentement. »
RTBF

« Sans frapper est donc un film qui interroge notre jugement - souvent quand il frappe les femmes et leur sexualité -, mais sensibilise aussi aux phénomènes neuropsychiques qui entourent le viol. » Moustique

« Un des points forts de Sans frapper est qu’il inclut des récits de l’autre côté : "J’étais jeune et con", "J’étais défoncé"... Personne n’a envie de se dire violeur, c’est un mot trop fort, associé à un inconnu dans une ruelle. La réalité est beaucoup plus banale. » lavenir

« Ce film-documentaire à la frontière entre réalité et fiction est un outil de compréhension pour les victimes, mais surtout de sensibilisation pour toute la société : il n’y a pas de "bonne victime", parce qu’il n’existe pas de "bon viol". »
ELLE Belgique

« Complexe et sans tabou, Sans frapper démêle une pelote de traumatismes pour tricoter une couverture de réconfort. Il crée l’espace nécessaire à l’émergence de la parole contre le viol. »
CinéFemme


FESTIVALS :

PRIX DU JURY à Visions du Réel 2019
▶ Sheffield Doc/Fest ▶ FIDMarseille ▶ États généraux du film documentaire - Lussas ▶ European Film Festival Palić ▶ Dokufest ▶ Les Rencontres AD HOC - Cinéma Documentaire Hors Circuit ▶ DOK Leipzig ▶ doclisboa ...


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