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L'anonimité

posté le 04/09/13 Mots-clés  luttes sociales 

Où il est question d’Homère, d’une contribution de prisonniers d’un groupe de guérilla urbaine grec lors d’une rencontre internationale, et de bois obscurs...

« Cyclope, puisque tu me demandes mon nom, je vais te le dire ; mais fais-moi le présent de l’hospitalité comme tu me l’as promis. Mon nom est Personne : c’est Personne que m’appellent et mon père et ma mère, et tous mes fidèles compagnons. »
Homère, Odyssée, chant IX

... Depuis l’antiquité, il n’a certes pas manqué de monde pour avoir l’intuition et chanter les potentialités de l’usage de l’anonymat. Ce n’est que lorsqu’on est personne qu’on peut éviter d’être reconnu par ses ennemis. Il s’agit d’une sagesse grecque qui semble faire défaut aux anarchistes de la Conspiration des cellules du feu. Dans un texte écrit en prison par certains d’entre eux, signé également par un autre compagnon incarcéré, et envoyé à une rencontre anarchiste qui s’est tenue à Zurich en novembre dernier, ils développent amplement les raisons de l’utilisation d’un nom, d’un sigle et d’une identité bien définie avec lesquels revendiquer leurs actions ...

La suite de la discussion est dans le 4 pages ci-joint, traduction du texte L’anonimato, paru sur Indymedia Athènes, le 31 août 2013


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