Traduction publiée le 18 Mars 2018 12:22 GMT
Les familles des victimes séquestrées et confinées dans des cliniques de “déshomosexualisation” font appel aux “services” de ces institutions et paient pour que les membres de leur famille y soient gardés. Illustration de Mónica Rodríguez. Utilisée avec permission.
Billet d’origine publié le 18 février 2018 – Ce qui suit est une republication de l’article écrit par Carlos Flores, publié à l’origine par Connectas et adapté avec l’aide de l’auteur pour former une série en trois parties reproduite et traduite par Global Voices. L’article complet contient des témoignages détaillés et une analyse des incohérences légales qui facilitent la violence et la discrimination perpétuées contre les personnes gay et transgenres/transexuelles en Équateur.
La première partie ci-dessous regroupe les témoignages des victimes d’institutions ayant déclaré pouvoir “soigner” l’homosexualité ; les autres parties examinent les échecs du système judiciaire, ainsi que les obstacles sociaux qui limitent la protection des droits de toute personne lesbienne, gay, bisexuelle, transgenre et intersexuée (LGBTI).
LIRE SUR https://fr.globalvoices.org/2018/03/18/221670/