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Marx la Crapule

posté le 05/05/18 par indymedia Mots-clés  histoire / archive 

Marx qui [compensait] un « sentiment d’infériorité poussé à un degré extrême » (334) par des comportements excessifs, c’est le moins qu’on puisse dire :

« Sans discipline alimentaire, mangeant peu, irrégulièrement et sans ressentir d’appétit, mais excitant constamment son estomac à coups de pickles, de cornichons, de caviar et d’épices, il était également sans règle et sans mesure dans son travail et ses relations. Les mauvais mangeurs sont de mauvais ouvriers et de mauvais camarades. [...] il surchargeait son estomac intellectuel de mixed pickles littéraires et philosophiques. » (335-6) [1]

Refus d’un métier régulier, inaptitude à subvenir aux besoins de sa famille, alternance de mois d’inactivité et de travail frénétique accouchant d’une montagne de notes, extrême difficulté à achever un manuscrit, quête permanente de louanges... Marx a eu vraiment de la chance de rencontrer Engels, seule personne avec qui il ait jamais pu collaborer, Engels qui se contenta d’un rôle de fidèle second tout en envoyant sans cesse de l’argent.

Le portrait dressé par O. Rühle est aussi noir que celui répandu par les ennemis de Marx (336-9) : « Il détestait toute fréquentation des hommes ; il ne buvait qu’avec des gens qui le louaient et l’admiraient ; toute expression d’un sentiment un peu profond le rendait cynique. »

Le « besoin constant de perfection et d’idéal » le poussait aussi à être le meilleur, le premier, à dénigrer et calomnier (Bakounine en particulier : 271-2) : « La clairvoyance générale de Marx faisait faux bon toutes les fois que l’apparition d’un rival à sa taille troublait la paix de son esprit. [..] Marx n’était pas un joueur d’équipe. » (215)


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