L’Hôtel Flambeau a accueilli une centaine de personnes cette année. Ce vendredi 18 octobre,
deux policiers sont venus signifier aux 9 personnes domiciliées à l’Hôtel Flambeau que la loi anti-squat leur laisse une semaine pour quitter les lieux. Celles et ceux qui choisiront de rester risquent un procès pénal ainsi qu’un an d’emprisonnement.
A notre connaissance, la propriétaire de l’immeuble n’a aucun projet concret pour le bien : une fois le collectif expulsé, il restera vacant pendant plusieurs mois, voire plusieurs années, comme le furent avant lui le squat Gésus, l’Hôtel Astrid ou le pensionnat de Forest. Nous nous opposons donc à quitter les lieux tant que les travaux n’auront pas commencé.
Voici une tribune en pièce jointe pour parler de notre situation, n’hésitez pas à la diffuser !
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