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On ne compose pas avec les fachos et les racistes

posté le 27/09/18 Mots-clés  antifa 

Les idéologues de la symétrie

Comment Publié : le vendredi 17 mars 2017 à 11:56 par Spin

Contrairement à ce que voudraient faire croire certain-e-s, il n’y a aucun parallèle entre le racisme et l’antiracisme, ce sont deux choses contradictoires. Les racisé-e-s vivent une RÉALITÉ et mènent une lutte contre le racisme. La seule « lutte » des « anti-racialisateurs », à l’inverse, c’est contre les racisé-e-s qui prétendent être autonomes et se passer des professionnels de la politique. Le mot racisé a un sens, le mot racialisme est une insulte raciste envers les racisé-e-s. Voir :

Pourquoi les « anti-racialisateurs » (et aussi celleux qui les soutiennent) font partie du problème... et non de la solution
https://nantes.indymedia.org/articles/36245

Il y a une différence fondamentale entre mener une lutte contre le racisme et mener une lutte contre les antiracistes. Or, jusqu’à preuve du contraire, ce ne sont pas les racisé-e-s qui ont mené une campagne politique acharnée et réactionnaire, avec diffusion de textes, brochures, émissions de radio, collages, perturbation, mais bien leurs calomniateurs qu’on n’a jamais vus soutenir la moindre action antiraciste « acceptable ».

De même qu’il faut faire la distinction entre raciste et antiraciste, il convient aussi de faire la distinction entre agresseurs et agressés.

Pour celles et ceux qui veulent savoir ce qui se cache derrière l’expression « racialisme », des textes instructifs :

https://iaata.info/Utiliser-le-mot-race-1512.html

https://mignonchatonblog.wordpress.com/2016/08/29/pour-en-finir-avec-le-mot-racialisateur/

> Le niveau...

Comment Publié : le vendredi 17 mars 2017 à 16:36 par ...


"qui se traduisent particulièrement par l’expression « racisé-e-s » et principalement portée par les courants féministes intersectionnels."

Lol, l’expression « racisé-e-s » est principalement portée par les courants féministes intersectionnels ? C’est juste n’importe quoi.. C’est sur que Bouteldja, Assebague et toute la clique sont grave des féministes intersectionnelEs...


"nombreux et nombreuses nous sommes à avoir reçu une sommation autoritaire à choisir son camp en fonction de visions caricaturales et binaires et, qui plus est, sur le champ !"

Des textes publiés sur du papier ou sur des sites, ca ne fait pas une sommation que tu as reçu. Tu n’es pas le centre du monde.


"Et plus encore je rejette ces injonctions qui exigent de chacun-e de prendre parti. Car c’est finalement de ça qu’il s’agit. Être dans un camp, ou dans l’autre, comme à la belle époque des tendances du PC."

"la belle époque des tendances du PC" qui enjoignent à etre dans un camp ou dans l’autre ? Mais de quoi tu parles ?


"Si l’usage de cette « catégorie analytique » permet d’inclure la dimension raciste de la domination dans la lecture des rapports de classe ou de genre je n’y vois aucun problème bien au contraire puisque cela complexifie la critique et ouvre à de nouveaux champs dans nos luttes pour l’émancipation."

Si tu penses que la "race" est une « catégorie analytique » qui permet quelque chose de bien, alors pourquoi te dire anarchiste ? Toi qui n’est pas pure et pas dogmatique, qu’esy-ce que t’en a à foutre de l’anarchisme ?


"Mais cette recherche de pureté du sujet révolutionnaire, les caricatures des deux camps la partage. En effet, les seconds, critiques radicaux et radicales qu’ils et elles sont, rejettent la recherche du sujet pur comme je viens de le faire. Mais ils et elles la portent d’une autre manière qui me semble à peu près aussi stupide que la précédente."

... mais qui n’est pas expliquée ! La belle affaire... Encore une preuve des raisons profondes de ce texte.


"La mode est à la critique de la « composition ». Le mot maudit ! Le « voldemort » du milieu radical : il ne faut pas prononcer son nom sous peine d’avoir des problèmes ! "

y a t il un seul exemple concret de cela quelque part ?


"La composition signifie-t-elle la dissolution, la fin de l’autonomie d’un groupe, l’oubli des principes, l’incohérence politique ? Tout dépend d’où on se pose. Ce que j’ai retenu de l’anarchisme, c’est bien que je refuse les dogmes, les chapelles où la vérité se décrète plus qu’elle se vit."

Tu aurais du retenir également de l’anarchisme, le refus de la composition avec les organisations politiques. L’appel à "composer" avec les syndicats co-gestionnaires de l’Etat et du capital dans ce texte n’est qu’un énième exemple des contorsions hallucinantes que nous propose de faire notre compositrice anarchiste revendiquée.


"le syndicat n’apparaisse pas localement comme un espace de défense des salarié-e-s, on frôle la bêtise et non plus l’ignorance."

Le syndicat est un espace de défense du statu quo capitaliste, pas des "salarié-e-s"... T’as tout compris à la vie et t’as toujours pas compris ça ???


" Car ces temps de compositions permettent de retrouver des personnes qui veulent en découdre"

En découdre avec les émeutiers sous la forme de services d’ordre. En effet.


"Et quand on me dit « je préfère qu’il n’y ait pas de révolution plutôt qu’elle ne se fasse pas sur mes bases »"

Et qui dit une chose pareille ?


"je me demande à quel point nos milieux ne s’engourdissent pas dans le mythe et dans une caricature qui ne leur donne plus que de poids comme contre-modèle idéologique dans lequel les militants de l’économie peuvent toujours venir absorber de beaux principes pour aménager l’exploitation"

Ne s’engourdissent PAS ? C’est ca que tu voulais dire ? Et c’est quoi les "militants de l’économie" ? Ce texte est vraiment symptomatique de la confusion intellectuelle de son auteureuse.


"Alors non je ne prendrai pas parti dans vos débats caricaturaux où l’avenir du monde semble se jouer par texte interposés sur la toile à grand coup de soupçon et de conspirationnisme d’ultragauche, pas plus que je n’abandonnerai cet espoir que, parmi les gens qui en premier lieu ne tiennent pas un discours révolutionnaire il puisse en advenir un."

Si ta perspective est seulement qu’il puisse "advenir" (Ave Maria) un "discours revolutionnaire", le mieux c’est que tu continue à parler, parler, parler, jusqu’au jour ou tu te rendra compte que la revolution n’est pas une affaire de "discours", j’en veux pour preuve ton texte, qui apelle à repsecter neutralité, concept de "race", travail et syndicats.
Aussi, pourrais tu expliquer ce que tu appelles "conspirationnisme d’ultragauche", je ne vois pas... Et ca ne sert pas ton propos de raconter n’importe quoi ou d’inventer les concepts sur-mesure au moment où tu en as besoin.


"Je ne suis pas né « racisé » et considère que des catégories comme celle-ci peuvent aider à décrire la domination tout en travaillant à l’émancipation des « rapports sociaux de race » dans mes combats"

Moi je ne suis pas blanche comme toi, et j’en ai rien à secouer de tes histoire d’"émancipation des rapports sociaux de race" tout comme j’en ai rien à foutre de ta couleur et de ta culpabilité blanche de petit bourge. Car soyons clair, seul un bourgeois peut ecrire un texte de bourgeois pareil. Je me souviens de ce qu’il s’est passé quand on a essayé d’émanciper la race blanche en Allemagne ou en Afrique du sud !!!!!!

Va émanciper ta race blanche (ou celle des autres !) plus loin, merci. Et souviens toi aussi que les races n’existent pas. A la limite parle de "races sociales" si tu veux pas passer pour un fasciste.


"Parce que la Révolution n’est pas un mythe mais un projet concret et qu’il y a urgence à convaincre des compagnon-e-s non encore acquis-e-s aux idées libertaires de cette nécessité d’une vie autre."

tu nous expliquera aussi de qui il s’agit lorsque que tu parle "des compagnon-e-s non encore acquis-e-s aux idées libertaires", et comment tu comptes les "acquérir".

Il faudra aussi que tu nous explique ta révolution chomskyienne qui consiste à "acquérir" des gens au nom des "idées libertaires" dont tu emprunte la posture d’une représentante. Ce qui la fout mal pour quelqu’un qui refuse autant les dogmes.... Pour reprendre tes termes confus, la révolution n’est pas un truc qui "se décrète plus qu’elle se vit".

Pauvre époque...

> La bonne conscience des professionnels du radicalisme

Comment Publié : le vendredi 17 mars 2017 à 21:35 par le racisme jamais !

Tout ce fatras d’explications alambiquées et de mauvaise foi pour nous expliquer que les racisé-e-s sont en réalité des « racialistes » et que le racialisme c’est l’équivalent du racisme anti-blanc ne sert absolument à rien. On ne peut pas empêcher les racistes d’être racistes et les antiracistes d’être antiracistes. Chacun a choisi son camp, mais ce qui est grave, c’est que les racistes se croient obligés de pourrir les médias alternatifs alors qu’ils ont tous les médias mainstream à leur disposition pour dire la même chose.

Ces ultra-révolutionnaires qui ne composent avec personne sont bien obligés de trouver des justifications à leur racisme. Comme ils ne peuvent mener aucune lutte à quatre ou cinq, ils en sont réduits à pourrir les luttes des AUTRES avec leurs accusations et leurs campagnes délirantes qui ne trompent personne.

On a bien compris que vous ne viendrez pas aux manifs pour la justice et la dignité, mais vous ne manquerez à personne, on ne remarquera même pas votre absence. Oubliez-nous comme on vous a oubliés, on n’a rien à faire avec des idéologues professionnels qui n’aiment qu’eux-mêmes.

Et apprenez quelque chose sur le racisme anti-blanc pour vous faire mourir de honte :

"Parler de « racisme anti-blanc » c’est confondre ce qui relève des émotions, de la colère et ce qui a trait aux discriminations. En d’autres termes, c’est confondre les relations interpersonnelles et les rapports sociaux [1]. Ainsi, si Fatima, Mohammed, ou Fatou traitent Marie et Louis de « sales français » (relation interpersonnelle), le désagrément certain que constitue l’insulte sera mis sur le même plan que le fait que Fatima, Mohammed et Fatou risquent de voir leur CV refoulés en raison de leur couleur de peau, celle-ci signifiant une origine « autre », qu’elle soit réelle ou supposée (rapport social).

Par ailleurs, on pourrait réfléchir au fait qu’être anti français, c’est être anti blanc, aux yeux de ceux qui s’émeuvent des ravages dudit « racisme anti-blanc ». C’est bien la preuve que le cœur du problème est la division raciale qui sous-tend la définition de l’être français ; division incarnée par la séparation entre les français « de Souche » et les « issus de » ; division parfois reprise par les « issus de » contre les « de Souche », ce qui justifierait l’usage de la notion de « racisme anti-blanc ».

Or dans ce contexte, il ne peut y avoir de commune mesure entre les positions de ceux qui discriminés, peuvent insulter par rage, et ceux qui se retrouvent privilégiés par un rapport social. Considérer le racisme anti blanc c’est tenir pour équivalent des barrières sociales concrètes telles que des discriminations à l’embauche ou au logement, et des insultes qui peuvent toucher des personnes, sans être le reflet de pratiques structurelles concrètes. En effet voit-on son CV refusé en France parce qu’on est blanc ?" […]

http://lmsi.net/De-l-urgence-d-en-finir-avec-le


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