La planète Terre
C’est depuis les milliards d’années qui se sont succédé
Au moins 100 milliards d’espèces
Et plus ou moins 100 milliards d’êtres humains
Qui se sont au cours des époques, renouvelés
Toutes nos ondes électroniques et informatiques
Se propagent dans le cosmos
Et s’il y a bel et bien d’autres Ouranos
Nous sommes repérés et surveillés
Par ce que nous ne pouvons imaginer !
Notre monde si pauvre, si prévisible
Plus aucune rencontre n’y est possible
Dans une société d’argent, cela est compréhensible
C’est le rythme du pareil
Les étudiants avec les étudiants
Les avocates avec les avocates
Les savants avec les savants
Les ignorantes avec les ignorantes
Les pauvres avec les pauvres
Les riches avec les riches
Les jeunes avec les jeunes
Les vieux avec les vieux
Critique de la séparation
Séparation de la critique
Les rapports humains sont cadavériques
Et pour la sexualité partagée
De la compromission, il faut ramper
Et dans une hiérarchie s’élever !
Et la plupart des femmes revanchardes
Copiant des hommes, toutes les atrocités bavardes
Il faut jouer le jeu
Pour apaiser le sexe en feu
La femme ne fait que rarement le premier pas
L’homme doit faire le gros bras
En réalité, c’est la femme qui domine
Et même le mâle qui avec son fric, tapine !
Ii faut jouer le jeu
Pour apaiser le sexe en feu
Tout doit être une récompense méritée
En toutes choses, comme en sexualité
Toujours faire le dindon
Voilà la rançon de toutes les religions
Sinon
Le cri des femmes
0ù est-ce qu’on viole ?
Sinon
Le cri des hommes
Où est-ce qu’on baise ?
Ma textualité n’est pas molle
Non jamais je ne biaise
Et peu importe
Des hommes avec des hommes
Des femmes avec des femmes
Des parties fines
Mon esprit, rien ne le mine !
Toutes les étiquettes
Professionnelles sont de la guerre
Ouvrier, ingénieur, technicien, employé, ou autre, c’est bête
Peste émotionnelle, peste réactionnaire
C’est de la comparaison, c’est de la séparation
Cela produit de l’infériorité
Cela produit de la supériorité
La guerre est tout ce qui peut diviser !
Cela renvoie à des images
Qui dans nos cerveaux font des ravages
Cela fait TOUTES les cages !
L’influence émotionnelle
Est comme l’influence gravitationnelle
Mais l’une est artificielle
L’autre est strictement naturelle
Là où n’est point de gravité
La plume tombe comme un marteau
Sur la Lune comme exemple ressassé
Car sans frottement d’air, ne pas l’oublier
Le frottement d’air est l’émotion
La gravité n’a pas la moindre sensation
Il suffirait de penser autrement
Ou de ne plus penser, justement !
La gravitation, de l’espace-temps
N’est que la déformation
Ce qui nous fait une belle jambe
Dans l’isolement, où personne n’est ensemble
Maintenant, des gens de France, d’ailleurs, partent au Maroc
Où la répression est solide comme un roc
La vie y est moins chère qu’en Europe ou ailleurs, il y a du soleil
Mais c’est sur le dos du peuple indigène, de la complicité
Beaucoup de camping-cars, cela entretient le système des inégalités
Et du discours logique, pour son ignominie, justifier !
Mais en France, plus aucune cabine téléphonique
Du capital, encore un coup de trique
Comme si tout le monde avait le téléphone
Avec les pauvres, la société n’est pas bonne !
Il suffit de rentrer dans une banque postale
Pour comprendre le fonctionnement du capital
Comme un spinosaurus pire que le tyrannosaurus rex
Des dents de 23 cm, 6 m de plus que le tyrannosaure rex
Plus pour séduire que mordre fort
Comme les collerettes, cornes, épines
De la séduction, pour la jouer fine
Le porte-jarretelles des dinosaures
Mâles et femelles de tous temps
Le même port, le même boniment
La sélection sexuelle est du même bord
La théorie du genre
Est encore un genre
Nous devrions nous habiller
Comme bon nous semble, sans rien théoriser
En femme, en homme, en rien du tout
Nous en amuser comme folles et fous
Avec des vêtements de toutes les époques
Avec des habits de toutes les défroques
Selon toutes nos envies
Et peu importe les définitions
La femme, l’homme, l’enfant, stop aux classifications
Les intellectuels femmes et hommes
Sont les ennemis de la vie
Des nazis à toutes les théories
L’intellectuel
Se croit supérieur aux autres
L’artiste
Se croit supérieur aux autres
Mais l’homme qui se veut ordinaire
Se croit aussi supérieur aux autres
Femme, enfant, homme
C’est cela la guerre toutes les guerres
C’est cela l’esprit réactionnaire, tous et toutes les réactionnaires
Ce monde est aux mains des gangsters
Dans la politique ou autre, le désastre, il faut le gérer
Dans le même sens vont les lois du marché
Extrême gauche, gauche, droite, extrême droite, pour les appliquer !
Sans cesse ils et elles sont remplacés
C’est de la supercherie
C’est de l’escroquerie
Les mafias sont étatisées
Elles savent s’y prendre pour nous lobotomiser
Notre monde est en totale inhumanité
Et c’est devenu la normalité
Elle passe complètement inaperçue
Le fascisme populiste est en rut
Catholiques intégristes, nationalistes, racistes
Nous tirent dessus à vue
La marge qui est en marge, en tête de leurs listes !
Tout devient fou
Et voici un extrait de lettre
De Nantes, l’ami Jacques
" Ce monde rend fou. Arnaud me dit qu’il s’est engueulé avec Eric. J’ai
l’impression que tout le monde est à cran, et que à la moindre étincelle,
cela peut partir en cacahuètes. C’est vrai que dans cette société, il faut
faire des efforts surhumains chaque jour, rien que pour pas exploser. C’est difficile
de rester zen. J’espère que ta mère va mieux. Tu auras peut-être moins
de flotte à Tonnerre qu’ici. Bon, je te dis kenavo. J’espère aussi que Michel
va mieux ! A plus. Vive l’anarchie.
Jacques
François Hollande est un nazi de gauche
Qu’un nazi de droite, aussi moche
Depuis 1938, la famille des agents de la S.N.C.F
Bénéficiaient des transports gratuits ou presque
Hollande veut tout supprimer, ce pourri, ce sale mec !
Les nazis de gauche
Cette gauche du capital
Osent faire le pire, c’est normal
C’est une logistique élaborée, c’est fatal !
C’est toujours le communisme du capital
Pour les nantis, pour les autres, bobo, ça fait mal
TOUS les acquis des luttes ouvrières
Sont gommés, reniés, bobo, ça fait mal
TOUT pour les patrons, industriels, le commerce, les affaires
Toute cette racaille
Toute cette canaille
Il n’y a pas de gauche, de droite
D’extrême gauche, d’extrême droite
Il n’y a que le capital
Qui ne permet aucune vie
Qui tous les jours nous chie
Le nazisme existait
D’avant le nazisme
Le fascisme existait
D’avant le fascisme
Le stalinisme existait
D’avant le stalinisme
Bref, le capitalisme existait
D’avant le capitalisme
C’est une organisation sociale
Qui a des courants
Qui a des représentants
Qui sont tous les visages du capitalisme
Et qui sont une identique protrusion idéologique !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l’invité sur "hiway.fr"