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Portrait anarchiste * Hem Day * Un libertaire belge

posté le 22/11/18 par  Xavier Bekaert - * - http://libertaire.pagesperso-orange.fr/portraits/hemday.htm Mots-clés  histoire / archive 

Hem Day (portrait par Léo Campion)

Le premier acte contestataire de Marcel Dieu fut de se proclamer végétarien alors que son père était boucher. Cet esprit de contestation ne devait plus le quitter jusqu’à son dernier moment. Vinrent la Grande Guerre et l’occupation allemande de 1914-1918. Le jeune Marcel comprit bien vite l’inutilité, la bêtise et l’atrocité des guerres, ce qui le conduisit à un antimilitarisme actif qui, très vite, se mua en anarchisme. Ayant répudié la religion et refusant de croire en Dieu, il était fort embêté de se présenter sous son nom. Voilà pourquoi il prit un pseudonyme, les initiales MD, qu’il écrivit Hem Day.

Le mouvement anarchiste belge fut particulièrement actif durant les années vingt ; outre une situation sociale explosive, la tragique affaire Sacco et Vanzetti mobilisait l’activité des libertaires. En 1927, sous l’impulsion d’Hem Day, le Comité de Défense Internationale Anarchiste (CIDA) , dont il fut le secrétaire de 1928 à 1940, rédigea une pétition en faveur des condamnés ; elle recueillit des milliers de signatures et une manifestation de masse fut organisée. Peu après Hem Day entreprenait une nouvelle campagne, cette fois en faveur d’Ascaso, Durruti et Jover, réfugiés en Belgique, menacés d’extradition, ce qui les eût livrés aux bourreaux de Primo de Rivera.

Au milieu des années 1920 il était l’éditeur du bi-mensuel Le Combat (Bruxelles) sous titré "organe anarchiste".

C’est principalement à partir de 1928 que Hem Day commença sa lutte pacifiste radicale en prônant la résistance à la guerre et le refus d’obéissance. En 1933, le ministre de la Défense Nationale déposa un projet de loi interdisant toute propagande pacifiste et toute diffusion d’idées antimilitaristes. Sans attendre, Hem Day renvoya son livret militaire en compagnie de son ami Léo Campion, secrétaire de la section belge des Résistants à la Guerre. La réponse ne tarda guère, un mois après, par mesure de discipline, les deux hommes devaient rejoindre leur unité. Ils refusèrent et furent arrêtés quelques jours plus tard.
Le jour du procès, la foule s’écrasait dans l’enceinte du tribunal et les journalistes accourus de partout éprouvèrent grand-peine à trouver place. Personne n’attendait une condamnation, mais seulement une joute oratoire, les notes relatives au service militaire des prévenus étaient bonnes ; tout ce que l’on pouvait leur reprocher était d’avoir refusé de répondre à un rappel imposé à titre de sanction. Hem Day y déclara entre autres : « Ce n’est pas en accusé, Messieurs, mais en accusateur que je me présente devant vous. En accusateur du gouvernement qui inscrit dans sa constitution le Pacte Briand-Kellog et qui renie sa signature […] Nés dans un même pays, parlant la même langue, nous ne nous comprenons pas […] Vous êtes des guerriers, je suis pacifiste. Nous sommes tous pacifistes, direz-vous. Mais la différence entre mon pacifisme et le vôtre, c’est que moi je suis en prison et vous sur ces sièges, pour me juger. »

Le Conseil de Guerre condamna Dieu à deux ans de prison et Campion à dix-huit mois. Le casier judiciaire de Campion était en effet vierge de condamnations, alors que Hem Day en comptait plusieurs : avoir publié une affiche sans nom d’éditeur, avoir giflé un agent de police, outragé des gendarmes et refusé de satisfaire à ses devoirs d’électeur. Tous deux entamèrent alors une grève de la faim à partir du 25 juillet et dans laquelle ils furent appuyés par un autre objecteur, Lionel de Vlamick.

Une fois leur peine terminée, les condamnés allaient être rappelés et, refusant à nouveau de se soumettre à cette injonction, seraient à nouveau condamnés. De nouvelles protestations s’élevèrent et le recours contre le jugement obtint une réduction des emprisonnements. Les condamnés firent alors la grève de la faim. L’opinion publique, craignant que la plaisanterie ne tournât au tragique, exigea une libération immédiate. La pression exercée fut si forte que le sort du gouvernement s’en trouva menacé. Ils furent finalement renvoyés de l’armée car indignes de figurer plus longtemps dans ses rangs. Cette affaire conduisit également à l’abandon du projet ministériel.

En 1932 il était l’un des principaux rédacteurs du périodique L’Action rationaliste belge (Bruxelles, janvier à décembre ? 1932) dont le gérant était Léo Campion.

En juin 1936 il fut l’organisateur à Paris d’une exposition de la presse anarchiste mondiale.

Hem Day, quoique refusant de participer à toute guerre entre nations ne rejetait alors pas la guerre civile révolutionnaire sur le plan du principe. Il partit en 1937 pour l’Espagne afin de participer à la révolution sociale. Il ne tarda pas à constater que du fait de l’intervention étrangère la guerre civile dégénérait en une véritable guerre internationale avec toutes ses conséquences atroces. Il opta dès lors pour la non-violence. Lors d’une conférence contre le militarisme en 1937, il déclara : « Entreprendre une révolution […] au moyen de la violence extrême, apparaît aujourd’hui comme affreusement absurde. Tout autant que la guerre. La dépendance entre les États […] ainsi que la monstrueuse efficacité des instruments de destruction, rendent catastrophique le recours à la violence extrême collective. […] Il nous semble donc nécessaire, non tant point de la condamner, mais d’en montrer les risques trop gros, la folie, et de conseiller une autre méthode de lutte pour supprimer le capitalisme ou abattre le fascisme. ». Au printemps 1937, il avait également démissionné du Comité d’organisation d’un congrès international devant se tenir à Barcelone, par suite de la décision de la FAI de ne pas y accepter de délégations individuelles.

À son retour d’Espagne, Hem Day fit des conférences contre le danger du nazisme, ce qui lui valut d’être expulsé de France. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, il donna asile à grand nombre de réfractaires.

Hem Day s’était fait dès 1927 écrivain et éditeur. Il publia d’abord des périodiques éphémères, Rebelle, Droit d’asile, Ce qu’il faut dire. Journal à parution irrégulière au moment de la guerre d’Espagne, Pensée et Action devint une revue qui reparut clandestinement après la guerre puisque l’occupation nazie avait supprimé la liberté de la presse. Après la Libération, il fallait demander des autorisations en règle pour avoir du papier et le droit d’imprimer toute revue. Mais Hem Day se passa de toutes les autorisations, il publia sa revue et personne n’osa l’inquiéter. La revue se transforma, ensuite, en Cahiers : une trentaine de volumes consacrés pour la plupart à des bio-bibliographies d’écrivains libertaires, d’Erasme et Rabelais à Hem Day lui-même.

En 1945 il avait été élu membre du Conseil international du War resisters international (WRI) dont il fut le délégué lors de congrès aux Indes, en Jordanie et Israël.


Hem Day

Si la revue fut sa tribune, sa librairie, Aux Joies de l’Esprit, fut son bureau, un lieu ouvert à tous dans une semi-clandestinité, dans une résistance organisée bien avant que les militaires n’inventent la leur. Dans sa boutique se rencontraient des compagnons de tous les pays du monde : antifascistes italiens des années 30, exilés espagnols, déserteurs français et allemands fuyant les prisons militaires en 1939, Juifs et Allemands antinazis au plus fort de la répression, ainsi que, plus tard, des insoumis des guerres d’Indochine et d’Algérie. La librairie vendait livres et revues anarchistes, mais pour les connaisseurs elle était spécialisée en ouvrages sur l’érotisme et la gastronomie, opération évidemment plus rentable.

Dans les années 1960, Hem Day collabora à la revue Anarchisme et non violence. Il fut aussi actif au sein de l’Internationale des résistants à la guerre (IRG-WRI), et était franc-maçon, initié en 1932 à la loge Vérité (n°852) de la Fédération belge Le Droit humain..

Ce fut le 14 août 1969 que s’éteignit à Evere (Brabant) cet infatigable défenseur de la paix et de la liberté. Il fut incinéré au crématorium d’Uccle. Il avait accumulé d’énormes collections d’imprimés en tous genres, ainsi que des fichiers bio- et bibliographiques, qui ont été déposés à la Bibliothèque royale de Belgique et au Mundaneum.

Hem Day

Un libertaire belge

Né le 30 mai 1902 à Houdeng-Goegnies en Hainaut, le premier acte contestataire de Marcel Dieu fut de se proclamer végétarien alors que son père était boucher. Chez le petit garçon prenait déjà corps cet esprit de contestation qui ne devait plus le quitter jusqu’à son dernier moment. Vinrent la Grande Guerre et l’occupation allemande de 1914-1918. Le jeune Marcel compris bien vite l’inutilité, la bêtise et l’atrocité des guerres, ce qui le conduisit à un antimilitarisme actif qui, très vite, se mua en anarchisme. Ayant répudié la religion et refusant de croire en Dieu, il était fort embêté de se présenter sous son nom Marcel Dieu. Voilà pourquoi il prit un pseudonyme, les initiales de son nom, MD, qu’il écrivit Hem Day.

Premiers combats

Le mouvement anarchiste belge fut particulièrement actif durant la deuxième décennie de ce siècle ; outre une situation sociale explosive, la tragique affaire Sacco et Vanzetti mobilisait l’activité des libertaires. En 1927, sous l’impulsion d’Hem Day, le Comité de Défense Internationale Anarchiste (CDIA) rédigea une pétition en faveur des condamnés ; elle recueillit des milliers de signatures et une manifestation de masse fut organisée. Peu après Hem Day entreprenait une nouvelle campagne, cette fois en faveur d’Ascasso, Durutti et Jover, réfugiés en Belgique, menacés d’extradition, ce qui les eût livrés aux bourreaux de Primo de Rivera.

Le procès
Léo Campion & Hem Day

C’est principalement à partir de 1928 que Hem Day commença sa lutte pacifiste radicale en prônant la résistance à la guerre et le refus d’obéissance. En 1933, une figure de proue du parti Libéral, M. Devèze, ministre de la Défense Nationale, déposa un projet de loi interdisant toute propagande pacifiste et toute diffusion d’idées antimilitaristes. Sans attendre, Hem Day renvoya son livret militaire en compagnie de son ami Léo Campion, secrétaire de la section belge des Résistants à la Guerre. La réponse ne tarda guère, un mois après, M. Devèze rappelait les deux hommes sous les armes par mesure de discipline ; ils devaient rejoindre leur unité. Malheureusement pour le ministre, nos chers amis avaient de la suite dans les idées. Ils refusèrent et furent arrêtés quelques jours plus tard. Un procès allait suivre...

Le grand jour arrivé, la foule s’écrasait dans l’enceinte du tribunal et les journalistes accourus de partout éprouvèrent grand-peine à trouver place. Personne n’attendait une condamnation, mais seulement une joute oratoire, les notes relatives au service militaire des prévenus étaient bonnes ; tout ce que l’on pouvait leur reprocher, était d’avoir refusé de répondre à un rappel imposé à titre de sanction. Hem Day y déclara entre autre : Ce n’est pas en accusé, Messieurs, mais en accusateur que je me présente devant vous. En accusateur du gouvernement qui inscrit dans sa constitution le Pacte Briand-Kellog et qui renie sa signature (Y) Nés dans un même pays, parlant la même langue, nous ne nous comprenons pas (Y) Vous êtes des guerriers, je suis pacifiste. Nous somme tous pacifistes, direz-vous. Mais la différence entre mon pacifisme et le vôtre, c’est que moi je suis en prison et vous sur ces sièges, pour me juger (Nda : le Pacte Briand-Kellog mettait la guerre hors-la-loi. Les pays signataires s’engageaient à ne pas y recourir quelles que fussent les circonstances).

Pareilles déclarations révèlent d’emblée l’atmosphère des débats. L’acquittement devenait impossible pour un tribunal militaire. Le Conseil de Guerre condamna Dieu à deux ans de prison et Campion à dix-huit mois. La différence entre les peines provint de ce que le casier judiciaires de Campion était vierge de condamnations, alors que Hem Day en comptait plusieurs : avoir publié une affiche sans nom d’éditeur, avoir giflé un agent de police, outragé des gendarmes et refusé de satisfaire à ses devoirs d’électeur.

L’affaire risquait de tourner au cercle vicieux puisque, une fois leur peine terminée, les condamnés allaient être rappelés et refuseraient immanquablement à nouveau de se soumettre à cette injonction et seraient à nouveau condamnés... De nouvelles protestations s’élevèrent et le recours contre le jugement obtint une réduction des emprisonnements prévus pour chacun des condam-nés. Malheureusement pour la justice militaire, ces derniers décidèrent de frapper un grand coup et firent la grève de la faim.

L’opinion publique, craignant que la plaisanterie ne tournât au tragique, exigea une libération immédiate. La pression exercée fut si forte que le sort du gouvernement s’en trouva menacé. Autorités et ministre ne surent comment se tirer du guêpier où les avait fourrés leur esprit de discipline. Une formule pour le moins saugrenue tenta de sauver la face : ils furent renvoyés de l’armée car indigne de figurer plus longtemps dans les rangs de l’armée, pour cause d’indignité de continuer à faire partie de l’armée. Ils furent donc chassés de l’armée pour cause d’indignité après avoir été condamnés pour ne pas vouloir y rester ! Cette affaire aux nombreux côtés humoristiques aboutit donc à la libération des deux pacifistes et conduisit également à l’abandon du projet Devèze.

La guerre d’Espagne

Hem Day, quoique refusant de participer à toute guerre entre nations ne rejetait alors pas la guerre civile révolutionnaire sur le plan du principe. Ayant toujours eu le courage de ses idées, il part en 1937 pour l’Espagne afin de participer à la révolution so-ciale. Il ne tarda pas à constater que du fait de l’intervention étrangère - fait inévitable comme l’ont montré de nombreux exemples du passé - la guerre civile dégénéra en une véritable guerre internationale avec toutes les conséquences atroces qui l’accompagnent. Instruit par cette terrible leçon des choses, il revint assez convaincu de l’inutilité de la violence dans la révolution et opta résolument pour la non-violence. Lors d’une conférence, il s’exprime en ces termes : Entreprendre une révolution (Y) au moyen de la violence extrême, apparaît aujourd’hui comme affreusement absurde. Tout autant que la guerre. La dépendance entre les États (Y) ainsi que la monstrueuse efficacité des instruments de destruction, rendent catastrophique le recours à la violence extrême collective. Non seulement cette dernière supplicie le peuple qui s’y livre mais aussi menace la paix des autres peuples (Y) Il nous semble donc nécessaire, non tant point de la condamner, mais d’en montrer les risques trop gros, la folie, et de conseiller une autre méthode de lutte pour supprimer le capitalisme ou abattre le fascisme. Méthode de lutte collective pour ainsi dire basée uniquement sur la non-coopération la plus intégrale possible (1).

Lors de son retour d’Espagne, Hem Day donna des conférences contre le danger du nazisme, ce qui lui valut d’être expulsé de France ! Pendant la deuxième guerre mondiale, il donne asile à tous ceux qui restent hommes au travers de cette grande lâcheté qu’est la guerre.

Pensée et Action

Il est impossible de parler d’Hem Day sans parler de la revue Pensée et Action dont il fut l’animateur inégalable. Il se fit dès 1929 écrivain et éditeur, Vie et Action était une de ses tribunes qui devint plus tard Pensée et Action. Tout d’abord, journal à la parution irrégulière avant la deuxième guerre mondiale, au moment de la guerre d’Espagne, Pensée et Action devint une revue qui reparut clandestinement après la guerre puisque l’occupation nazie avait servi à quelque chose : à supprimer la liberté de la presse. Après la Libération, il fallait demander des autorisations en règle pour avoir du papier et le droit d’imprimer toute revue. Mais Hem Day s’est passé de toutes les autorisations, a publié sa revue et personne n’a osé l’inquiéter. La revue s’est ensuite transformée en Cahiers dont on peut encore trouver quelques exemplaires dans certaines bouquineries.

Mais si sa revue était sa tribune, sa librairie, Aux Joies de l’Esprit, était son bureau, un lieu ouvert à tous dans une semi-clandestinité, dans une résistance organisée bien avant que les militaires n’inventent la leur. Cet autre aspect de son travail, beaucoup plus terre à terre que ses nombreux écrits et conférences, était tout aussi important, voire davantage.

Son ami Léo Campion nous le relate : C’est qu’Hem Day savait joindre la pensée et l’action, lui qui fut de tous les combats où l’homme et la liberté de l’homme étaient en jeu, lui qui à longueur d’existence accueillit des proscrits, les hébergea, leur donna de l’argent sans leur demander d’où ils venaient, ni qui ils étaient. Seul lui importait qu’ils soient traqués (2).

Dans sa boutique, se rencontraient des compagnons de tous les pays du monde. Des antifascistes italiens des années 30, des exilés espagnols, des déserteurs français et allemands fuyant les prisons militaires en 39, des Juifs et des Allemands antinazis au plus fort de la répression, ainsi que, plus tard, des insoumis des guerres d’Indochine et d’Algérie.

C’est le 14 août 1969 que s’est éteint cet infatigable défenseur de la paix et de la liberté ; voici ce qu’il écrivait à la fin de sa vie : Parfois, rentrant en moi-même, j’examine tout ce que je vis quotidiennement et je me mets à désespérer que jamais la paix ne régnera sur terre, dans ce monde aux folles aventures sans cesse renouvelées. Pourtant notre raison à nous c’est de lutter, c’est de crier notre révolte contre le destin qui essaye de nous entraîner vers la guerre, et si nous ne parvenons point demain à vaincre, nous resterons convaincus que cependant c’est nous qui sommes sur la bonne route, celle qui apporte en nous et autour de nous la paix du cœur et de l’esprit (3).

Ces phrases résonnent toujours avec autant de force et de vérité aujourd’hui, alors que, pour la première fois depuis la deuxième guerre mondiale, des forces européennes bombardent un autre pays européen...

Xavier Bekaert

(1) Congrès contre la guerre et le militarisme, Paris, 1-5 août 1937.

(2) Hommage à Hem Day, Bruxelles, 30 novembre 1969.

(3) Manuscrit (jamais publié à ma connaissance) du Fonds Jean Van Lierde, Mundaneum.

Bibliographie

- Compte-rendu complet de l’hommage du 30 novembre 1969 au Mundaneum de Bruxelles : Hommage à Hem Day, Éd. Pensée et Action, Paris-Bruxelles, 1970
- Jean De Meur, chapitre sur Hem Day dans : L’anarchisme en Belgique, Éd. Pierre De Meyère, 1970.
- Jean-Pierre Jacquinot, présentation de : Anarchie et non-violence. Hem Day - Pierre Ramus., supplément au n°77 du Libertaire
- Compte-rendu, plaidoiries, articles, etc : Autour d’un procès. Léo Campion - Hem Day, Éd. Pensée et Action, Paris-Bruxelles, 1968.


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