Dans l’article de la presse locale, on apprend que « toutes les entreprises qui interviennent dans le cadre de projets de rénovation urbaine signent des clauses d’insertion. Elles doivent consacrer 5 % du volume d’heures du chantier à des demandeurs d’emploi. Localement, la ville a négocié une proportion encore plus forte : entre 7 et 14 % du nombre d’heures que représente le chantier ». Que ce soit pour ne pas trimer et/ou contre l’urbanisme de caserne que le pouvoir étend de jour en jour, toutes les raisons sont bonnes pour foutre le feu à la ville prison.
Un début d’incendie a aussi été constaté à la porte d’une salle de sport à l’arrière de la cité la même nuit.