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Une voix libertAire - De la terre, du pain et la liberté

gepost op 30/03/13 Trefwoorden  luttes sociales 

La grande majorité des terres appartiennent encore à l’aristocratie.

Les famille Boël et Goblet-d’Alviella accaparent à eux seuls la plupart des terres viables et cultivables dans la commune de Mont-saint-Guibert, Court saint etienne, Chastre et Villers-la-ville entre autre. Sans compter les quelques grandes propriétés démesurées, les manoirs et les châteaux disséminée dans la région.
Plus aucune terre, champs, prairie n’est public. Toute les forêts sont privées.
On ne se déplace plus que sur des sentiers balisés, encadrés, autorisés.

L’anarchiste considère que la terre n’appartient qu’à celui qui l’a travaille de ses propres mains.
Aucun homme ne devrait pouvoir posséder plus que ce qu’il a besoin pour subvenir à ses besoins. Aucun homme n’a les capacités physiques pour cultiver ou construire, de son seul travail, plus que ses forces ne pourraient lui fournir.

Seul les maîtres peuvent posséder plus. Car, il ne se base pas sur leur force mais sur leur héritage. Un héritage acquis et entretenu sur le travail des autres, sur l’exploitation des autres. En louant leurs terres, leurs maisons, leurs propriétés, ils volent et asservissent le peuple. Par le simple fait d’être propriétaire d’un bien, qu’ils n’utilisent pas, nous devons leurs demander l’autorisation d’y vivre et qui plus est, de payer.

L’ anarchiste prône l’abolition des loyers. L’argent ainsi économisée par les locataire, devenus propriétaire provisoire (tant qu’il y habite), servira à entretenir et à ameliorer les infrastructures de leurs lieux de vie.

L’anarchiste prône l’abolition de l’héritage immobilier et de tout héritage produit sur le travail des autres. Tout comme la terre n’appartient qu’a celui/ceux qui l’a travaille ; le fruit du travail n’appartient qu’a celui/ceux qui l’on produit ; un logement n’appartient qu’a celui/ceux qui y habite.

L’anarchiste prône la réappropriation des espaces publics, des espaces privés non utilisés, des champs et des forêts en communautés autonomes.
Ces communautés ne pouvant survenir seul à l’ensemble de leurs besoin formeront d’elles-même, par une nécessaire solidarité, des association-libre : les communes.

De la terre découle le pain. De la terre et du pain pour tous s’ensuit la liberté !


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