La bibliothèque anarchiste la Discordia en première ligne. Cela doit cesser.

La bibliothèque anarchiste la Discordia en première ligne. Cela doit cesser.

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Nous avions publié précédemment "amènes" et "collée au mur" parce qu’il était important de signaler les errances, erreurs, ou choix délibérés et conscients (peu importait ?) qui semblaient commencer à sérieusement phagocyter les discours de (entres autres) la galaxie "très à gauche" (et sa grande périphérie).

  • Absorber par phagocytose.
  • Détruire progressivement quelqu’un, quelque chose en les privant de toute autonomie, en s’en rendant maître de l’intérieur : Entreprise qui phagocyte ses concurrents plus petits.

- Faisant cela nous souhaitions contrer, affirmer, interroger, huer, bref affronter le retour du religieux et de la race, en général et dans nos rang, plus précisément la défense de l’islam et les velléités de certains de repenser la lutte à l’aide la notion de race, articuler la lutte autour de ce concept nauséabond ; ou pour reprendre les termes de la Discordia il s’agissait de : "vocalis(er) publiquement un refus révolutionnaire non-négociable des rackets politiques religieux comme racialistes sur l’extrême gauche".

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Aujourd’hui il importe beaucoup. Des mots a jailli la peinture d’abord, puis les pierres (ou les marteaux ) ont suivi : "la Discordia" est sous le feu (modéré pour l’instant) de la critique acritique puisque cette dernière frappe sans expliquer.

Propagande par le fait ? Critique en acte ? Lâcheté plus certainement...

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Et il importe à présent que ceux qui réprouvent le fassent savoir.

Il importe que ceux qui ont le cul sale et entre deux chaises aille se torcher avant tout.

Il importe car comme il est très justement dit dans leur communiqué que nous relayons ici et plus bas, la Discordia ne doit ni ne peut rester seule à porter les positions claires et fortes qui semblent bien être à l’origine de ces pitoyables attaques fantômes.

Et elle ne l’est pas.

Et nous le faisons savoir ici avec nos modestes moyens électroniques.

Et nous le ferons savoir plus tard avec des moyens non électroniques, tenant fermement dans la main gauche des textes, des analyses, des positions fermes et cohérentes, prêtes à la confrontation théorique. Oui de la main gauche, chacun sa façon d’être droitier...

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Salut fraternel aux bibliothécaires !

http://nons.stops.over-blog.com/2016/05/il-importe.html


publié le 12 mai 2016