Les deux tiers des résidus de pesticides dans l’alimentation sont des perturbateurs endocriniens potentiels

Près des deux tiers des résidus de pesticides détectés dans l’alimentation européenne sont le fait de molécules suspectées d’être des perturbateurs endocriniens. C’est le principal enseignement d’une enquête, rendue publique mardi 4 septembre par l’organisation non gouvernementale (ONG) Générations futures, menée sur la base du programme de surveillance européen coordonné par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), dont les résultats ont été publiés cet été.

Le constat de l’association est de nature à reposer la question des risques chroniques potentiels pour le consommateur liés à la présence de traces ténues de produits phytosanitaires dans l’alimentation.


publié le 5 septembre 2018