Campagnes électorales fachos

Agir, La Droite, Parti Populaire, Nation, NVA...

Les fachos constitués en listes électorales font tout ce qu’ils peuvent pour se faire connaitre et-ou pour amasser des voix en octobre.

On va pas parler ici du fait de saboter les autres partis ou pas, mais rappeler quelques trucs si ça peut aider :

- Les affiches sont difficiles à arracher, sauf quand elles viennent d’être collées et-ou quand il pleut. Avec votre outil (ou clé à défaut), déchirer au bon endroit (bulles d’air) pour que le reste de l’affiche vienne.

- Le surcollage (d’affiches blanches ou antifascistes et-ou drôles) reste le must mais prend plus de temps et demande une personne ou deux de plus que le bombage avec gros caps (prévoir au moins deux bombes si vous faites toute votre commune). Le bombage est particulièrement adapté pour certains endroits de Bruxelles où des grillages sont placés sur les panneaux électoraux (même s’ils ne sont pas bien attachés).

- Si vous bombez, oubliez pas de laisser des messages sur les panneaux vides (ou aux versos), ils ne sont pas nettoyés et restent donc au fil des élections. Faites tenir le message sur un seul panneau, c’est mieux ;).

- À Liège les panneaux électoraux sont enterrés solidement dans le sol, ce qui n’est pas le cas ailleurs où souvent il suffit de les décocher de leur socle et les mettre à terre.

- N’oubliez pas des oeufs ou des perches si vous croisez des particuliers qui ont affiché à leur balcon. Et notez leur adresse.

Ça vaut la peine de le faire régulièrement, histoire qu’ils se fatiguent et crachent leur tunne mais surtout histoire de visibiliser une culture antifasciste.

On parle juste des panneaux, mais bien sûr qu’il y a les marchés où choper leurs paquets de flyers, qu’il faut boycotter leurs accès médiatiques et pirater leurs plateformes de communication, que le plus important reste de résister aux politiques de la NVA & co et d’alimenter ses divisions, de saboter le Vlaams Belang sans lui faire trop de pub, de faire connaitre les magouilles du PP qui se veut "propre".

Des bisous antifascistes !


publié le 27 septembre 2018