Cette cartographie de l’islam0-gauchisme en France (inspirée de la cartographie de « l’extrême-droite » qui discrimine / oublie malheureusement les musulman-e-s) s’appuie sur nos travaux antérieurs consacrés à l’accointance entre la Gauche et l’islam.
Parmi tous les textes de ce site inscrits sous le mot-clef « Islam0gauchisme », on lira notamment :
— - Ce que nous appelons extrême droite (tract)
— - Sur les racines de l’islam0-gauchisme (exposé)
— - « Il y a des affinités anthropologiques très profondes entre un gauchiste et un musulman » (entretien)
— - Islamisme, totalitarisme, impérialisme (analyse)
Cette cartographie n’est, en réalité, que de la représentation graphique d’informations disponibles sur internet, accessibles en quelques minutes, et qui regroupent tant les positions des intéressés que les collaborations régulières ou ponctuelles qui les relient entre eux.
Les critères retenus ressortent naturellement : ils s’agit de sélectionner les acteurs (individus et institutions) les plus populaires ou les plus influents ou les plus névralgiques et les liens qu’ils tissent entre eux.
Cartographie de l’islam0-gauchisme – version I – Printemps 2018 — Lorsque l’extrême-gauche française accompagne l’extrême-droite musulmane.
C’est pourtant la convergence progressivement construite entre les héritier-e-s désespérés des totalitarismes marxistes et la montée en puissance du totalitarisme islamique.
Iels en reprennent les méthodes de propagande, les schémas victimaires, des idéologies complotistes, la certitude d’être dans le Sens de l’Histoire, la volonté d’instaurer le Bien sur Terre en luttant contre le Mal, par tous les moyens.
Leur démarche, finalement, est fondamentalement religieuse : elle ne supporte pas l’épreuve des faits, l’exercice du libre examen, la rigueur de la discussion.
Sont rassemblés ici les points les plus saillants de cette nébuleuse, soit qu’ils aient pignon sur rue, soit qu’ils exercent une influence importante, soit qu’ils tissent des liens déterminants.
#Les Complaisant-e-s
Pour elleux l’extrême-droite musulmane n’est pas un vrai problème. C’est une affaire secondaire qui s’explique et s’excuse toujours par un « impérialisme » occidental, des conditions sociales, des discriminations, des différences culturelles. Iels brouillent les cartes et toute réflexion hérétique sur le sujet rend suspect de xénophobie nauséabonde.
#Les Collabos
Pour eux, l’islam, l’islamisme et toutes leurs conséquences sont un levier pour rééduquer les populations occidentales, historiquement coupables, ontologiquement racistes et fondamentalement malfaisantes. Toute réticence place immédiatement dans le camp des « fachos ». A l’inverse, tout non-occidental-e est porteu-se-r de promesses d’un avenir meilleur et « islam » veut dire émancipation.
#Les Dhimmis
Elleux sont prêt-e-s à justifier tous les coups du totalitarisme musulman, y compris armés. Iels parlent, écrivent et vivent spontanément comme si les djihadistes avaient déjà gagnés et ne souhaitent que leur victoire pour être enfin promu-e-s. Iels désignent les cibles afin de se distinguer.
#Les (re)convertis
Au fond leurs positions sont islamistes, mais iels les maquillent d’une mince couche de discours social afin de les rendre audibles par les gens "normaux". Iels sont le noyau dur de l’inquisition musulmane en France et de sa politique néo-coloniale, poussant toujours plus loin les provocations en donnant le "La" à tous leurs suiveu-se-r-s.
#Les Frères présentables
Ce sont des islamistes qui se donnent l’air fréquentables, voire mainstream, pour infiltrer, paralyser puis retourner les institutions, la société civile, les mentalités. Ce sont eux qui font le lien avec les organisations d’extrême-droite musulmanes implantées sur le territoire et leurs ramifications internationales par l’intermédiaire des associations, des revues, des confréries, des mosquées…
#La droite traditionaliste, antisémite, négationniste
L’extrême-droite musulmane tisse des liens naturels et logiques avec les résidus de l’extrême-droite française (catho, protestante, juive, (néo)paienne, athée, etc). Mais la faiblesse de cette dernière, tant numérique qu’idéologique, les rend superficiels et occasionnels.